Doña Anita Taft Directora de la Fundación Tandana tiene carisma, voluntad de servir al prójimo, es una persona dinámica en todas las actividades muy responsable, asimismo Don John (Juanchito) es compactible coordinan la mejor con sus esposa Anita.
Administración
Anita, John, una delegada, y Don Vicente Pazmiño como coordinador una persona honesta muy responsable que están en el equipo de administración. Las coordinadoras del turno igualmente son personas calificadas y muy responsables fueron…cada grupo de voluntarios que llegaron eran muy participativos en mingas en el vivero forestal de la Unión de Comunidades Indignas de Quichinche (UCINQUI), como también el las comunidades de base de la UCINQUI, también con los apoyos económicos para diferentes obras en vivero forestal como: desbanque del piso, camas de trasplante, construcción de invernadero, casa de administración, reservorio de agua para vivero forestal. La contra parte de la UCINQUI ha sido mano de obra y de maestros..
La misión y visión de la Fundación Tandana
La misión do la Fundación Tandana bajo la dirección de Doña Anita Taft de atender en educación, salud y ambiental.
Educación
Apoyando con las becas para la familias de escaso de recursos económicos.
Apoyar a las personas bajo recurso económico disidas a al causar sus metas de ser personas importantes y tenga mejores oportunidades.
Salud
Apoyando con los médicos de diferente especialidad, medicamentos y lentes. En coordinación del Ministerio de Salud Publica.
Para que las comunidades marginadas que tenga la buena salud: fuertes, sanos, inteligentes para la sociedad.
Ambiental
Apoyando en plantación forestales en la comunidades de base asimismo comprando plantitas en vivero de la UCINQUI. Recolectando plántulas de aliso muy retirado del vivero de la UCINQUI. Enfundado de la tierra, trasplantando, mantenimiento, del vivero.
Proteger a la madre tierra sembrando plantas, dando importancia al vivero forestal de la UCINQUI para la producción de plantas nativas y frutales.
Resumen
Agradecimiento.
A todo el personal de la Fundación Tandana y a los grupos que yo pasaron apoyando, y otras están por regresar otra vez.
A los profesionales médicos.
A todas las personas desde lejanas países que nos apoyan con becas para nuestros hijos que Dios le colme de bendiciones.
Atentamente,
Matías Perugachi
Técnico Forestal de la UCINQUI
For The Tandana Foundation
Doña Anita Taft, Director of the Tandana Foundation has charisma and a willingness to serve others. She is a dynamic person and is very responsible in all activities, and Don John (Juanchito) is a compatible companion for your wife Anita.
Administration
Anita, John, a delegate, and coordinator Don Vicente Pazmino are honest individuals who form a very responsible management team. The Coordinators who work for the foundation are all qualified and very responsible. Each group of volunteers that has come has participated wonderfully in mingas at the tree nursery of The Union of Indigenous Communities of Quichinche (UCINQUI), and has also been involved in work in the communties that form UCINQUI. They also provided financial support for various projects at the tree nursery such as transplant beds, greenhouse construction, greenhouse improvement, and building a water reservoir for the tree nursery. UCINQUI, in turn, has provided labor and skilled masons.
The mission and vision of The Tandana Foundation.
The mission of The Tandana Foundation, under the direction of Doña Anita Taft, is to address education, health and environmental issues.
Education
Support for families with limited economic resources using scholarships. Supporting people with low economic resources, valuing their goals, and ensuring that people have better opportunities.
Health
Supporting with physicians with different specialties, medical doctors, optometrists, and ophthalmologists, in coordination with the Ministry of Public Health. Ensuring that marginalized communities are strong, healthy, and intelligent contributors to society.
Environmental
Supporting plantation and reforestation in the communities and buying seedlings from the UCINQUI nursery. Collecting alder seedlings from very distant locations for the UCINQUI nursery. Filling bags with earth, transplanting seedlings at the nursery, along with doing maintenance at the nursery.
Protecting Mother Earth by planting and recognizing the importance of the UCINQUI tree nursery for the production of native plants and fruit.
Summary
Thanks. To all The Tandana Foundation staff, the volunteer groups who have come, and others who will come in the future. To the medical professionals. to all the people from distant countries who support our children with scholarships, may God will fill you with blessings.
Doña Anita Taft, directrice de la Fondation Tandana a du charisme et une volonté de servir les autres. Elle est une personne dynamique et est très responsable dans toutes les activités, et Don Jean (Juanchito) est le compagnon compatible pour votre épouse Anita.
Administration
Anita, John, de déléguer, et coordinateur individus Don Vicente Pazmiño qui sont honnêtes forme une équipe de gestion très responsable. Le sommet de la tour sont tout aussi qualifiés et très responsable. Chaque groupe de bénévoles qui mange et beaucoup qui ont participé à mingas à la pépinière de l’Union des communautés indigènes de Quichinche (UCINQUI), et ont été impliqués à la base de UCINQUI. Ils ont également fourni un soutien financier à divers projets à la pépinière: tels que déloger les lits de sol de greffe, de la construction à effet de serre, la gestion des greenshouse, et la construction d’un réservoir d’eau pour la pépinière. La contrepartie de travail UCINQUI enseignants.
La mission et la vision de la Fondation Tandana.
La mission de la Fondation Tandana, sous la direction de Doña Anita Taft, est de résoudre les problèmes environnementaux éducation, la santé et.
Éducation
Soutien aux familles ayant des ressources économiques limitées en utilisant des subventions.
Aider les personnes à faibles ressources économiques, ce qui rend leurs objectifs importants, et assurer que les gens ont de meilleures opportunités.
Santé
Soutenir les médecins de spécialités différentes, les médecins, les optométristes et les ophtalmologistes, en coordination avec le ministère de la Santé publique.
Veiller à ce que les communautés marginalisées sont forts, en bonne santé, et les sociétés intelligentes.
Écologique
Aider les collectivités à la base des plantations forestières et l’achat de plants de la pépinière UCINQUI. Collecte de très vieux plants d’aulne de la terre UCINQUI nursery.Protecting à la pépinière, le repiquage des plants à la pépinière, Avec procéder à l’entretien de la pépinière.
Protéger Mère Terre en plantant et reconnaissant l’importance de la pépinière UCINQUI pour la production de plantes indigènes et des fruits.
Résumé
Merci. Pour tout le personnel de la Fondation Tandana, t ont des groupes de bénévoles, et d’autres qui reviendront de nouveau.
Les professionnels de la santé
Tous les gens de lointain pays des pays qui soutiennent nos enfants avec des bourses, Que Dieu vous comble de bénédictions.
Assemblée générale de restitution du bilan 2013 et définir un plan d’action annuel 2014 de l’association de protection de l’environnement de OLOUGUELEMO.
Introduction:
Dans le cadre de la mise en œuvre des activités de protection de l’environnement dans la commune rurale de Wadouba, l’association OLOUGUELEMO en partenariat avec la Fondation TANDANA a tenue du 21 au 22 Février 2014 son troisième assemblée générale au titre de l’année 2014 dans le village de Sal-Dimi.
Tous les villages membres et partenaires financiers et techniques étaient conviés à cette assemblée générale qui s’est déroulée sous la présidence de son président Mr Ando TEMBINE. Le secrétariat de séance était par Mr Ousmane Tembiné secrétaire administratif de l’association assisté par le représentant de la Fondation Tandana.
L’ordre du jour portait sur les points suivants:
Ordre du jour:
Présentation mutuelle de la participation;
Relecture des Statuts Règlements Intérieurs de l’Association;
Présentation des activités de protection régulière de la zone de forêt retenue et la régénération naturelle dans les champs cultivés (RNA) de chaque village membre de l’association;
Adoption du budget du projet de protection de l’environnement axé sur la sensibilisation et la formation de la communauté à l’utilisation des foyers;
Divers.
Après les mots de bienvenu du représentant du chef de village de Sal-dimi, la séance a été ouverte par le président de l’association.
Une minute de silence a été observé à la demande du vice président en mémoire du président du comité villageois de Sal-Dimi qui est décès en janvier 2014.
Après la présentation mutuelle des différents délégués et participants, les activités sont poursuivies avec la relecture des Statuts Règlements Intérieurs de l’Association pour une meilleure maitrise et respect des Statuts et règlement de l’association à de ses membres la présentation des activités des différents comités villageois.
Il ressort dans ce tableau le bilan d’activités RNA des 8 villages membres de l’association:
Bilan RNA au 31 /12/ 2013 par village de l’association Olouguelemo.
N°
Villages
Nombre de Familles
Nombre d’arbres entretenu (RNA)
Nombre Champs de RNA
Nombre de réunions du comité villageois
Nombre de Sortie surveillance des brigades
1
Kansongho
22
548
32
5
15
2
Sédé
4
100
19
4
25
3
Goundoly-Dogon
30
600
40
3
20
4
Goundoly-Djénéké
22
406
31
6
5
5
Sandjian
14
128
27
3
8
6
Wana
16
96
26
2
12
7
Sal-Dimi
32
425
73
15
36
8
Assa
10
266
10
3
4
Total
150
2569
258
41
124
L’association OLOUGUELEMO a félicité les différents comités villageois pour leur engagement dans les activités de protection de l’environnement. Le bureau et les autres invités présents ont apprécié de l’élargissement des sites forestiers et de l’identification des nouvelles forêts mises en défenses par certains villages (Sal-Dimi, Goundoly Dogon, Wana, Kansongho et Goundoly Djénenké). Le bureau a demandé à chaque comité de quantifier la superficie des forêts mises en défense afin de fournir la superficie totale des forêts mises en défense par l’association.
Les membres du bureau central de l’association ont effectué deux visites aux différents comités de briques des villages membres.
En collaboration avec les Service de l’état des Eaux et Forêts, de l’association a bénéficié d’un atelier sur les textes forestiers et les normes techniques de lutte contre la dégradation du sol du 5au 11 Avril 2013 dans le village de Goundoly Dogon. Cet atelier a lieu grâce à l’appui financier de la Fondation Tandana.
La prochaine assemblée générale se tiendra au 31 décembre 2014.
Difficultés rencontrées:
– Manque d’équipement pour la détermination exacte des superficies des forêts mises en défenses par les comités villageois;
– L’insuffisance des moyens de surveillance des brigades villageoises; u
– Le non respect de l’interdiction de coupe de bois dans les zones mises en dépense par les villages voisins non membre de l’association;
– Conflits entre les villages suite à des saisies des brigades lors des patrouilles dans les champs RNA et la zone de forêts;
– Retard des cotisations des membres;
– Insuffisance de dénonciation des femmes membres pour les femmes qui disposent plus de 10 tas de bois de cuisine en réserve.
Recommandations:
L’assemblée a adopté les recommandations suivantes:
Harmonisation et programmation des périodes de rencontre:
– Réunion des membres du bureau central chaque trimestre (Mars – Juin – Septembre) le dernier samedi du mois de la réunion à Kansongo, informer les membres à une semaine à l’avance;
– Réunion des membres du comité villageois chaque mois le dernier samedi sous la présidence du président;
– Surveillance des brigades villageoises: tous les jours;
– Rencontre inter-brigades villageoises:
Les brigades de Kansongo – Assa – Sédé – Wana – Sandjam – Goundoly Dogon et Goundoly Dogon chaque mois le dernier samedi au puits de sandjam. Entre 9h à 12h.
Les brigades des villages de : Inter-brigade de Sal-Dimi Goundoly Dogon et Goundoly Djenninké vont à Boutili le 5 de chaque trimestre à partir de 9h à 12h.
– Les brigades doivent informer les chefs du village à chaque sortie pour la surveillance des forêts;
– Les coupes assistées de bois de chauffage dans les tous les villages sont fixés le mois de mars pour 15 jours d’opération.
– La sensibilisation des villages voisins sera effectuée dans les activités du bureau central;
– Pour tous conflits de saisie en flagrant d’élis des dégâts sera géré d’abord avec le comité villageois pour le règlement des amandes. En cas de désaccord, le comité saisie les autorités villagéoises qui a son tours saisie le bureau en cas de besoin.
– Le bureau fait appel le service technique pour les conflits qui lui dépasse.
– L’assemblée après avoir analysée et accepter la demande d’adhésion à OLOUGUELEMO des villages de Wara, Nounou et de Embisson, responsabilise le président et ses membre du bureau pour officialiser leur adhésion.
Perspectives:
Les résultats atteints sont satisfaisants dans l’ensemble. Les activités programmées en 2013 ont été toutes exécuté.
Pour une meilleure régularité des sorties et rencontres officielles des brigades et des membres, l’assemblée a fixé des sanctions et amendes suivantes :
Pour toute absence non justifiée:
– Réunion des membres du bureau centra : 500F CFA / membre;
– Réunion des membres du comité villageois 250F CFA / Membre
– Rencontre inter-brigades villageoises: 500F CFA / Brigade;
Activités à mener en 2014:
Dans le cahier de charge de l’année 2014, l’association OLOUGUELEMO a inscrit les objectifs suivants:
La protection régulière de la zone de forêt retenue et la Régénération Naturelle Assistée (RNA) dans les champs cultivés de chaque village membre de l’association:
Equipement de déplacement pour la surveillance de la brousse:
Diminution de la consommation du bois et du charbon de bois par des actions de formation, vulgarisations des foyers améliorés adéquats à des prix accessibles.
Alléger les travaux domestiques des femmes.
NB : L’association est consciente qu’elle ne peut jamais atteindre ces objectifs sans l’accompagnement de ses partenaires et compte sur l’accompagnement de la Fondation Tandana pour l’exécution de ce plan d’action.
Report:
General Assembly to present the summary of 2013 and set a 2014 action plan of the Association for the Protection of the Environment OLOUGUELEMO.
Introduction:
As part of the implementation of activities to protect the environment in the rural county of Wadouba, the OLOUGUELEMO Association in partnership with The Tandana Foundation held its third General Assembly in 2014 from February 21st to the 22nd, in the village of Sal-Dimi.
All member villages and financial and technical partners were invited to the general meeting held under the chairmanship of its President Mr Ando TEMBINE. The secretariat of the meeting was provided by Mr Ousmane Tembiné administrative secretary of the association, assisted by the representative of The Tandana Foundation.
The agenda focused on the following:
Agenda:
Introduction of the participants
Review of the Statutes and Internal Regulations of the Association;
Presentation of the activities of regular protection in the retained forest area and natural regeneration in cultivated fields (RNA) for each member village of the association;
Approval of the proposal for 2014, focused on education and training of the community for the sustainable use of their home environment;
Miscellaneous
After words of welcome from the representative of the village chief of Sal-Dimi, the meeting was opened by the president of the association.
A moment of silence was observed at the request of the Vice President in memory of the village committee chairman from Sal-Dimi, who died in January 2014.
After the mutual introduction of various delegates and participants, the activities continued with the reading of the Statutes and Internal Regulations of the Association for better understanding and compliance with statutes and regulations of the association among its members representing the activities of the various village committees.
The results of the activities of the 8 member villages appear in this table:
Balance RNA at 31/12/2013 by the village Olouguelemo Association.
N°
Villages
Number of families in each village
Number of trees maintained through RNA techniques
Number of Fields where RNA is practiced
Number of meetings of the village committee
Number of monitoring brigades to protect the forests
1
Kansongho
22
548
32
5
15
2
Sédé
4
100
19
4
25
3
Goundoly-Dogon
30
600
40
3
20
4
Goundoly-Djénéké
22
406
31
6
5
5
Sandjian
14
128
27
3
8
6
Wana
16
96
26
2
12
7
Sal-Dimi
32
425
73
15
36
8
Assa
10
266
10
3
4
Total
150
2569
258
41
124
The OLOUGUELEMO Association commended the various village committees for their commitment to activities to promote environmental protection. The Association leadership and other guests in attendance appreciated the expansion of protected forest areas and the identification of new forests for protection in some villages (Sal-Dimi, Goundoly Dogon, Wana, and Kansongho Goundoly Djénenké). The Association leadership asked each committee to measure the area of forest preserved in order to know the total forest area protected by the association.
The members of the central committee of the Association have made two visits to the various village committees.
In collaboration with the Malian Department of Water Affairs and Forestry, the Association participated in a workshop on forest texts and technical standards against soil degradation from April 5th to the 11th 2013 in the village of Goundoly Dogon. This workshop was held with the financial support of The Tandana Foundation.
The next meeting will be held on December 31, 2014.
Difficulties:
– Lack of equipment for the village committees to accurately determine the amount of forest land protected.
– Inadequate means for monitoring by village brigades;
– Villagers from neighboring villages that are not part of the Association are not complying with the logging ban in some areas;
– Conflicts between villages following seizures of wood by the brigades during patrols in protected areas;
– Delay of payment of membership dues;
– Inadequate reporting of women members on toher women who have more than 10 lots of kitchen firewood in reserve.
Recommendations:
The Association adopted the following recommendations:
-Coordination in planning of dates for future activities
– Meeting of the members of the central committee each quarter (March, June, and September) the last Saturday of the month. The meeting will be held in Kansongo; inform members one week in advance;
– Meeting of village members every month on the last Saturday under the chairmanship of the President;
– Monitoring of village brigades daily;
– Meetings of inter- village brigades as follows:
Brigades from Kansongo – Assa – Sédé – Wana – Sandjam – Goundoly Dogon, will meet on the last Saturday of the month at the Sandjam well, between 9am and 12pm.
Brigades from Sal – Dimi, Goundoly Dogon, Goundoly Djenninké, will meet at Boutili on the 5th of each quarter from 9am to 12pm.
– The groups must keep the village leaders informed on the forest preservation process.
– The association will help member villages cut and collect firewood from the assisted regeneration trees for 15 days in March.
– The central committee of the Association will raise awareness in neighboring villages of the importance of the forest protection activities.
– For all conflicts and seizure of wood, the fines will be managed initially by the village committee. In case of disagreement, the committee will appeal to the the village authorities, who in turn will contact the central committee if needed.
– The central office of the Association will call the government technical services for conflicts that are outside its scope.
– The assembly analyzed and accepted the requests to join OLOUGUELEMO from the additional villages of Wara, Nene, and Embisson. It empowered the President and members of the board to formalize the membership of these new villages.
Outlook:
The results achieved by the Association and its partners are overall satisfactory. All of the activities planned in 2013 were executed well.
In order to ensure that the members and groups have more regular meetings and monitoring outings, the Assembly set the following fines and penalties:
For any unexcused absence:
– Meeting of the members of the central office: 500F CFA / member;
– Meeting of the members of village committee 250F CFA / Member
– Meeting of inter-village brigades: 500F CFA / Brigade;
Activities to be undertaken in 2014:
For 2014, the OLOUGUELEMO association has registered the following objectives:
Regular protection of the forest zone and Assisted Natural Regeneration (ANR) in cultivated fields of each member village of the Association.:
Acquire better equipment for monitoring activities in the forest
Reduce consumption of wood and charcoal through training and the provision of efficient cookstoves to the general public at affordable prices.
Reduce the domestic work of women.
NB: The Association is aware that it can never achieve these goals without the support of its partners and counts on the support of the Tandana Foundation for the implementation of this action plan.
Informe:
Asamblea General para presentar el resumen de 2013 y establecer un plan de acción para 2014 de la Asociación para la Protección del Medio Ambiente OLOUGUELEMO.
Introducción:
Como parte de la ejecución de las actividades para proteger el medio ambiente en la parroquia rural de Wadouba, la Asociación OLOUGUELEMO en colaboración con la Fundación Tandana celebró su tercera Asamblea General en el 2014 del 21 de febrero al 22, en el pueblo de Sal- Dimi. Todos los pueblos de miembros y socios financieros y técnicos fueron invitados a la reunión general celebrada bajo la presidencia de su Presidente, el Sr. Ando TEMBINE. La secretaría de la reunión fue proporcionada por el Sr. Ousmane Tembiné secretario administrativo de la asociación, con la asistencia del representante de la Fundación Tandana .
La agenda se centró en lo siguiente:
Orden del Día:
1 Presentación de los participantes
2 Revisión de los Estatutos y el Reglamento Interno de la Asociación;
3 Presentación de las actividades de protección regular en el área de bosque conservado y la regeneración natural en los campos de cultivo (ARN) para cada pueblo miembro de la asociación;
4 Aprobación de la propuesta de 2014, enfocado en la educación y capacitación de la comunidad para el uso sostenible de su medio ambiente;
5 . Varios
Tras las palabras de bienvenida del representante del jefe de la comunidad de Sal- Dimi , la reunión fue inaugurada por el presidente de la asociación.
Un momento de silencio se observó a petición del Vicepresidente en memoria del presidente del comité de la comunidad de Sal- Dimi, quien falleció en enero de 2014.
Después de la introducción mutua de varios delegados y participantes, las actividades continuaron con la lectura de los Estatutos y el Reglamento Interno de la Asociación para una mejor comprensión y cumplimiento de los estatutos y reglamentos de la asociación entre sus miembros representantes de las actividades de los distintos comités de las comunidades.
Los resultados de las actividades de los 8 pueblos miembros aparecen en esta tabla:
N°
Pueblos
Número de familias en cada pueblo
Número de árboles mantenidas por medio de técnicas de ARN
Número de campos donde se practica la RNA
Número de reuniones del comité de la aldea
Número de monitoreo brigadas para proteger los bosques
1
Kansongho
22
548
32
5
15
2
Sédé
4
100
19
4
25
3
Goundoly-Dogon
30
600
40
3
20
4
Goundoly-Djénéké
22
406
31
6
5
5
Sandjian
14
128
27
3
8
6
Wana
16
96
26
2
12
7
Sal-Dimi
32
425
73
15
36
8
Assa
10
266
10
3
4
Total
150
2569
258
41
124
La Asociación OLOUGUELEMO elogió los diversos comités de aldea por su compromiso con las actividades para promover la protección del medio ambiente. La dirección de la Asociación y otros invitados presentes agradecieron la expansión de las áreas forestales protegidas y la identificación de nuevos bosques para la protección en algunos pueblos ( Sal- Dimi, Goundoly Dogon, Wana, y Kansongho Goundoly Djénenké ). La dirección de la Asociación pidió a cada comisión para medir el área de bosque preservado con el fin de conocer el área total de bosques protegidos por la asociación.
Los miembros del Comité Central de la Asociación han realizado dos visitas a los distintos comités de aldea.
En colaboración con el Departamento de Asuntos de Agua y Silvicultura de Malí, la Asociación participó en un taller sobre los textos de los bosques y las normas técnicas contra la degradación del suelo , del 5 al 11 de abril 2013 en el pueblo de Goundoly Dogon . Este taller se llevó a cabo con el apoyo financiero de la Fundación Tandana.
La próxima reunión se celebrará el 31 de diciembre de 2014.
Dificultades::
– Falta de equipo para los comités de aldea para determinar con precisión la cantidad de tierra forestal protegida. – Medios inadecuados para la supervisión realizada por las brigadas comunitarias;
– Los pobladores de las aldeas vecinas que no forman parte de la Asociación no están cumpliendo con la prohibición de la tala en algunas áreas
– Los conflictos entre los pueblos resultando de incautaciones de madera por las brigadas durante los patrullajes en las áreas protegidas
– Retraso de pago de las cuotas de membresía;
– La información inadecuada de mujeres miembros sobre las mujeres que tienen más de 10 porciones de de leña de cocina en la reserva .
Recomendaciones:
La Asociación adoptó las siguientes recomendaciones: – Coordinación en la planificación de fechas para las actividades futuras
– Reunión de los miembros del comité central cada trimestre (marzo, junio y septiembre), el último sábado del mes. La reunión se celebrará en Kansongo; informar a los miembros con una semana de antelación;
– Reunión de los miembros de la aldea todos los meses , el último sábado , bajo la presidencia del Presidente;
– Seguimiento de las brigadas de la aldea al día;
– Reuniones de brigadas entre las aldeas de la siguiente manera: Brigadas de Kansongo – Assa – SEDE – Wana – Sandjam – Goundoly Dogon, se reunirán el último sábado de cada mes en el pozo de Sandjam, 09 a.m.-12 p.m. Brigadas de Sal – Dimi, Goundoly Dogon, Goundoly Djenninké, se reunirán en Boutili el día 5 de cada trimestre 09 a.m.-12 p.m.
– Los grupos deben mantener informados a los cabildos comunitarios en el proceso de conservación de los bosques.
– La asociación ayudará a los pueblos miembros a cortar y recoger leña de los árboles de regeneración asistida durante 15 días en marzo.
– El Comité Central de la Asociación creará conciencia en los pueblos vecinos de la importancia de las actividades de protección forestal.
– Para todos los conflictos y la incautación de la madera, las multas serán manejados inicialmente por el comité de la aldea . En caso de desacuerdo, el comité llamara a las autoridades del pueblo, quienes a su vez pondrá en contacto con el comité central si es necesario.
– La oficina central de la Asociación llamará a los servicios técnicos del gobierno para los conflictos que están fuera de su alcance.
– La asamblea analizó y aceptó las solicitudes para unirse a OLOUGUELEMO de las comunidades adicionales de Wara , Nene y Embisson. Se faculta al Presidente ya los miembros del Consejo para formalizar la adhesión a estos nuevos pueblos .
Pronóstico:
Los resultados logrados por la Asociación y sus socios están en general satisfactoria. Todas las actividades programadas en 2013 fueron ejecutados bién.
Con el fin de garantizar que los miembros y los grupos tienen más reuniones periódicas y el seguimiento de las salidas, la Asamblea estableció las siguientes multas y sanciones : Para cualquier ausencia injustificada:
– Reunión de los miembros de la oficina central : 500F CFA / miembro;
– Reunión de los miembros del comité de la aldea 250F CFA / Miembro
– Reunión de brigadas entre aldeas : 500F CFA / Brigada;
Actividades que se realizarán en el año 2014:
Para 2014, la asociación ha registrado OLOUGUELEMO los siguientes objetivos:
1 Protección regular de la zona forestal y la regeneración natural asistida (ANR ) en los campos de cultivo de cada pueblo miembro de la Asociación. :
2 Adquirir un mejor equipo para el monitoreo de las actividades en el bosque
3 . Reducir el consumo de leña y carbón vegetal a través de la capacitación y la provisión de estufas eficientes para el público en general a precios asequibles.
4 . Reducir el trabajo doméstico de las mujeres.
NB : La Asociación es consciente de que nunca podrá alcanzar estos objetivos sin el apoyo de sus socios y cuenta con el apoyo de la Fundación Tandana para la ejecución de este plan de acción.
In late August of this year, I found myself on a flight to Quito, about to spend the next 3 months of my life living with a local family and volunteering in the village school. The past 6 days had been a whirlwind of major life changes: I had left my job, had 3 going away parties (work, friends and family), moved out of my apartment, gave away a number of my possessions and threw the rest of them in the back of my 98 ford escort to be unceremoniously dumped in my old room in my parents basement. Due to these hectic last days of my old life, I found little time to feel much of anything regarding living the next 3 months in Ecuador. Whereas normally I find it difficult to sleep the night before leaving for a vacation, I slept easily the night before my flight to Ecuador, as if my consciousness had yet to realize that my life was about to change majorly in every conceivable way.
I actually think that my lack of expectations were a blessing, as the real world is often vastly different then how we anticipate it will be. I do know however, there was an expectation I had going to Ecuador that turned out to be completely wrong. Having lived the past number of years of my life alone, I was uneasy about the prospect of living with a family, especially one with 3 young children as my host family here has. I thought that after 3 months living with a family, I would be at the end of my rope and ready to strike off again into the world of living independently. I justified the experience with some not all-together altruistic reasoning: it would be cheap and a great way to improve my Spanish.
Still, I hoped to develop a bond with my host family, and if nothing else be amicable roommates. So when I arrived, I pulled out my deck of cards and began hanging out with the family kids (Cury, Ines and Franklin).
Joel and his host family
I quickly realized that the only game I could properly explain in my clunky Spanish (at that point akin to a rusty mower blade chunking slowly through tall wet grass) was War, perhaps the most boring card game known to man. However it provided a good template for the kids and I to talk and goof around. In exchange, the kids began to show me around the breathtaking land surrounding their village of Larcacunga. Traversing cobblestone roads and chaquinans (small dirt paths) they showed me some of their favorite hidden treasures: a small pool dug out of a mountain stream where a farmer kept rainbow trout, a plant with pearl-like seeds that could be used to make a bracelet and small pink flowers which make a popping sound when pressed quickly against the forehead.
cooking time
Back in the home I got to know my host parents Jose and Maria mainly over the dinner table, which in Ecuador consists of the initially overwhelming (though gradually easier) task of eating an entire week’s worth of starches in one meal. They also made sure I felt included in their lives, and encouraged me to participate in activities such as making bread, which they sell in the market on Saturdays. Meal by meal, awkwardness began to slip into familiarity and then into genuine friendship. I found myself ingratiating myself with the family mainly through acts of self humiliation, including many knocked heads on low doorways, my squeamishness when presented with the small fried katso beetles they enjoy eating, and a particular time when I fell face first in the mud when going outside in the middle of the night to use the bathroom. Despite their amusement at my attempts at acclimation, they always treated me with humbling generosity and appreciation that I had come to work at their school.
Joel and his students
Now as I’m here in my last days living in Larcacunga, I find myself spending a lot of time in contemplation, surveying the land and being thankful for the opportunity to have called it home for a short time. I think back on those first days here, from coming to grips with the sparseness of my new concrete home, shivering in my bed during those first cold nights here up in the thin mountain air, and eating my dinners seated on an old milk crate. Somehow it all quickly became the life I lived and the life I became used to, and all those superficial comforts losta lot of their importance. Before I came to Ecuador, I thought the hardest part would be living with a family. Now as I get ready to leave, I know that the hardest part will be saying goodbye.
Joel Enright
Tandana Volunteer
A finales de agosto de este año, me encontré en un vuelo a Quito, a punto de pasar los próximos 3 meses de mi vida viviendo con una familia local y haciendo un voluntariado en la escuela del pueblo. Los últimos 6 días habían sido un torbellino de cambios importantes de la vida: me había dejado mi trabajo, tuve 3 despedidas (trabajo, amigos y familiares ), me traslade fuera de mi departamento, regale una serie de mis posesiones y lanzaron el resto de mis cosas en el cajon de mi carro ford escort del año 98 a dejarlas sin ceremonias en mi antigua habitación en el sótano de mis padres. Debido a la agitacion de los últimos días de mi antigua vida, me encontré sin tiempo de sentir mucho sobre los próximos 3 meses en Ecuador. Mientras que normalmente me resulta difícil dormir la noche antes de salir para unas vacaciones, he dormido la noche anterior con facilidad , como si mi conciencia aún tenía que darse cuenta de como mi vida iba a cambiar, en todas las formas imaginables.
De hecho creo que la falta de expectativas fue una bendición, ya que el mundo real es muy diferente a menudo entonces cómo podemos anticipar que será. Sé sin embargo, había una expectativa de ir al Ecuador que resultó ser totalmente incorrecto. Después de haber vivido solo el por algunos años de mi vida, estaba inquieto con la idea de vivir con una familia, especialmente una con 3 niños pequeños, como mi familia anfitriona tiene aquí. Pensé que a partir de los 3 mes de vivir con una familia, yo sería al final de mi cuerda y listo para salir de nuevo en el mundo de vivir de forma independiente. Justificaba la decision con un razonamiento no altruista: sería barato y una gran manera de mejorar mi español.
Aún así, me esperaba desarrollar un vínculo con mi familia, y si nada más ser compañeros amistosos. Así que cuando llegué, me saqué mi baraja de cartas y comenze a salir con los chicos de la familia ( Cury, Inés y Franklin ) .
Joel y su familia de acogida
Rápidamente me di cuenta que el único juego que podría explicar correctamente en mi torpe español ( en ese punto parecido a una cuchilla de la segadora oxidada lentamente a través de la hierba húmeda de alto) fue la guerra, tal vez el juego de cartas más aburrido que el hombre conoce. Sin embargo, dio una buena oportunidad para los niños y yo para conversar y hacer chistes. A cambio , los niños empezaron a mostrarme la tierra impresionante que rodea el pueblo de Larcacunga . Recorriendo los caminos empedrados y chaquinans (pequeños caminos de tierra) me mostraron algunos de sus tesoros favoritos : una pequeña piscina excavada en un arroyo de montaña dondo un agricultor tenia trucha arco iris, una planta con semillas de perla que se podrían utilizar para hacer una correa y pequeñas flores rosadas que hacen un sonido que hace estallar cuando se presiona contra la frente rápidamente .
divertirse
De vuelta en la casa conocí a José y María a mis anfitriones principalmente alrededor de la mesa del comedor , en Ecuador la comida consiste en la tarea inicialmente abrumadora (aunque poco a poco más fácil ) de comer el valor de una semana completa de los almidones en una comida
aprender a cocinar
. Ellos aseguraron que me sentí incluido en sus vidas , y me animaron a participar en actividades tales como : la elaboración del pan , que venden en el mercado de los sábados. Comida por comida , incomodidad comenzó a caer en la familiaridad y luego en una verdadera amistad. Me encontré a mí mismo congraciarme con la familia principalmente a través de actos de auto – humillación , incluyendo muchos cabezas golpeadas en puertas bajas , mi aprensión cuando se presento con el pequeño frito Katso, un escarabajo de la alimentación, y un tiempo especial cuando me caí de bruces en el barro cuando sali a la patio en la medianoche para ir al baño. A pesar de su diversión ante mis intentos de aclimatación , siempre humillante ellos me trataron con generosidad y aprecio que yo habia venido a trabajar en la escuela.
Ahora que estoy aquí , en mis últimos días viviendo en Larcacunga , me encuentro pasando mucho tiempo en la contemplación , la topografía del terreno y estar agradecido por la oportunidad de haber llamado este lugar mi hogar por un corto tiempo . Pienso en esos primeros días aquí , de venir a los apretones con la escasez de mi nueva casa de concreto , temblando en mi cama cayendo en las primeras noches frías aquí en el aire de la montaña , y comer mis cenas sentados en una vieja caja de leche . De alguna manera todo se convirtió rápidamente en la vida que viví y la vida a la cual me acostumbre, y todas las comodidades propias superficiales perdieron su importancia. Antes de venir al Ecuador , pensé que la parte más difícil sería vivir con una familia. Ahora, como me preparo para salir , sé que será la parte más difícil decir adiós.
Joel Enright, Voluntario de Tandana
À la fin Août de cette année , je me suis retrouvé sur un vol à destination de Quito , pret a passer les 3 prochains mois de ma vie à habiter avec une famille et au volontariat local dans l’école du village . Les 6 derniers jours avaient été un tourbillon de changements majeurs de la vie : j’avais quitté mon travail , avaient 3 fetes d’au revoir ( travail , amis et famille ) , sortis de mon appartement , donne aux autres un certain nombre de mes biens et jeté le reste de dans le dos de ma voiture 98 ford escort à sans ménagement déversér dans mon ancienne chambre en sous-sol de mes parents . Grâce aux occupations des derniers jours de mon ancienne vie , j’ai trouvé peu de temps pour sentir quoi que ce soit ce qui concerne les 3 prochains mois en Equateur . Alors que normalement je trouve qu’il est difficile de dormir la nuit avant de partir pour des vacances , j’ai dormi la nuit avant mon volà l’Equateur facilement , comme si ma conscience ne s’etait pas encore rendu compte que ma vie était pret a changer completement dans toutes les manières possibles.
Cela fait, je pense que la faute d’ attentes étaient une bénédiction , parce que le monde réel est très différent de ce que, nous prévoyons qu’il sera. Il y avait, cependant, une attente que j’avais aller à l’Equateur qui s’est avéré être complètement faux . Ayant vécu des dernières années de ma vie seule , j’étais mal à l’aise à l’idée d’habiter avec une famille , en particulier une avec 3 jeunes enfants comme mon hôte a ici. Je pensais que après 3 mois vivant avec une famille , je serais à la fin de ma corde et prêt à frapper de nouveau dans le monde de la vie autonome . J’avait justifié l’expérience avec certains raisonnements qui n’etait pas altruiste : il serait pas cher et une excellente façon d’améliorer mon espagnol .
Pourtant, j’espérais Développer un lien avec ma famille d’accueil , et si rien d’autre être colocataires amiable . Alors, quand je suis arrivé , j’ai sorti mon jeu de cartes et a commencé à sortir avec les enfants de la famille ( Cury , Ines et Franklin ) .
L’hôte de la famille de Joël
Rapidement, je me suis rendu compte que le seul jeu que je pourrais expliquer correctement dans mon maladroit espagnol (à ce point semblable à une lame de tondeuse rouillée arrachement lentement dans l’herbe humide de haut ) a été la guerre , peut-être le jeu de cartes le plus ennuyeux connu de l’homme . Cependant, il a fourni un bon modèle pour les enfants et moi pour parler et blaguer entre nous. En échange , les enfants ont commencé à me montrer les tresors autour de la terre environnante leur village de Larcacunga . Traversant les routes de pierre et les chaquinans (petits chemins de terre ) , ils m’ont montré une partie de leurs trésors préférés cachés : une petite piscine creusée dans un ruisseau de montagne où un agriculteur a gardé la truite arc , une plante à graines en forme de perles qui pourrait être utilisé pour faire une bracelet et de petites fleurs roses font un bruit d’explotation lorsque vous appuyez sur le front rapidement .
en s’amusant
De retour chez les parents a la maison, j’ai appris à connaître mes hôtes Jose et Maria principalement sur la table du dîner , ce qui, en Equateur consiste tout d’abord de la grande (mais peu à peu plus facile ) tâche de manger l’équivalent d’une semaine entière d’amidons en un seul repas . Ils ont également fait en sorte que je me suis senti inclus dans leur vie , et ils m’ont encouragés à participer à des activités : tels que la fabrication du pain, qu’ils vendent sur le marché le samedi. Repas par repas , la maladresse a commencé à se glisser dans la connaissance et dans une véritable amitié . Je me suis trouvé moi-même les bonnes grâces de la famille principalement par des actes d’auto humiliation , y compris de nombreux frappements de ma tete à portes basses , ma sensiblerie lorsqu’ils sont présentés avec la petite Katso frit (Ils aiment manger les coléoptères ), et un moment privilégié quand je suis tombé la tête la première dans la boue quand je suis sorti à l’extérieur dans le milieu de la nuit pour aller aux toilettes . Malgré leur amusement à mes tentatives d’acclimatation à , Ils m’ont toujours traité avec générosité et satisfaction que j’etais venu pour travailler a l’ecole.
Maintenant que je suis ici dans mes derniers jours dans Larcacunga , je me retrouve à passer beaucoup de temps dans la contemplation , l’arpentage des terres et être reconnaissant pour l’opportunité d’avoir appelé cet endroit chez moi pour une courte période . Je repense à ces premiers jours Ici, de venir à bout de la rareté de ma nouvelle maison en béton , des frissons dans mon lit au cours de ces premières nuits froid ici dans l’air de la montagne mince , manger mes dîners et assis sur une vieille caisse de lait . D’une certaine manière tout est rapidement devenu la vie que je menais la vie qui est devenu l’habitude, et tous les conforts de surface ont beaucoup perdu leur importance . Avant de venir à l’Equateur , je pensais que la partie la plus difficile serait de vivre avec une famille . Maintenant que je me prépare à partir, je sais que le plus dur sera de dire au revoir.